De l’empreinte carbone à l’empreinte de la main
Nos actions individuelles visant à préserver le climat sont certes importantes. Cependant, il faut reconnaître qu’elles se révèlent insuffisantes à long terme pour minimiser notre impact environnemental. Notre mode de vie en Europe engendre en effet une consommation des ressources qui dépasse largement les limites de ce que notre planète peut générer. Par opposition à l’empreinte carbone, qui mesure l’impact des émissions de gaz à effet de serre d’une activité sur l’environnement, le concept d’« empreinte de la main » permet de se focaliser sur le potentiel d’économie des ressources. L’accent est mis sur les effets positifs de ce qui est réalisable et sur la mise en œuvre d’actions concrètes. Ce changement de perspective permet de passer du je au nous et de transformer un sentiment individuel de frustration ou de découragement en un mouvement de réussite collective.
L’empreinte de la main nous emmène à la découverte d’initiatives et de projets existants près de chez nous. Laissons-nous inspirer par des idées innovantes, concrétisons-les ou développons-en de nouvelles !
Le concept novateur et engageant d’empreinte de la main élargit notre champ d’action, car il transforme notre évolution individuelle en cheminement collectif. Il peut être adapté à divers contextes tels que les groupes de réflexion et de confirmand·e·s au sein des paroisses. Il peut même servir de base à des échanges entre bénévoles ou à un événement d’équipe.